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15 nov. 07

Lancement de la carte Privilège


12 nov. 07

Présentation officielle des 60 ans


11 nov. 07

Présentation nouvelle gamme

LOWY by La Wetterenoise

-1947- La Wetterenoise ouvre ses portes grâce à un boulanger Viennois nommé Otto Löwy...


La Wetterenoise est l'oeuvre d'un homme exceptionnel dont la vie pourrait fournir le scénario d'un film ou la matière d'un roman: Otto Löwy, est né à Vienne le 21 décembre 1918.

Dès son adolescence, Otto manifeste le désir d'être boulanger.  Fasciné par les prouesses des artisans viennois dont la réputation dépasse les frontières du pays, et après une scolarité classique, Otto suit une formation chez un Maître-boulanger.

otto_lowyDétenteur d'un bagage professionnel hors du commun, il arrive à Bruxelles où il parfait ses connaissances chez différents boulangers. Il travaille parfois pour deux personnes à la fois: 8 heures chez l'une, 8 heures chez l'autre...

Otto s'installe au 46 Place du Vieux Marché aux Grains où il reprend un commerce géré auparavant par des artisans de Wetteren. Fort de son savoir-faire acquis à Vienne, il parvient à tirer le meilleur parti des pauvres récoltes d'après-guerre. Véritable magicien de la boulangerie, il est capable de fabriquer des bons pains à partir de farines de qualité très modeste.

Son talent ne passe pas inaperçu et très vite, Otto se constitue une clientèle de fidèles, dont certains sont encore aujourd'hui des inconditionnels du pain de la famille.

En 1947, Otto reprend la boulangerie Goudailler et invite ses clients à le suivre au 164 chaussée de Wavre, dans sa nouvelle boutique qu'il rebaptise "La Wetterenoise".

La nuit il est aux fourneaux et le jour il livre, ce qui lui laisse peu de temps pour la sieste (il ne dort que 4 heures par jour).

Au début, il utilise pour ses livraisons des charrettes tirées par des chevaux, comme beaucoup de commerçants de cette époque. Assez vite, il échange ses charrettes et ses chevaux contre un triporteur. Plus tard, le succès aidant, il s'offre sa première camionnette.

mme_lowyPoussé par sa nature ambitieuse, il ouvre plusieurs boulangeries et étend ainsi la notoriété de la Wetterenoise à la capitale tout entière. Parallèlement, il devient le fournisseur des plus grands hôtels de Bruxelles.

Le temps passe.

La fille aînée d'Otto entreprend des études de médecine. Le fils aîné apprend le métier de pâtissier (une profession soeur de celle de son père) et se forge rapidement une excellente réputation. Le benjamin, Charly quant à lui, opte pour ... les sciences politiques.

C'est pourtant lui qui, à la disparition d'Otto en 1980, reprend les rennes de l'entreprise. Avec l'aide de Madame Lowy, mère, il s'initie au métier.

Il décide de développer l'affaire en lui assurant une autonomie suffisante par rapport aux clients et en développant sa propre chaîne de boulangeries.